Vois mon histoire, lis une vie

Cette histoire a commencé à un manoir du Vaquali. Les propriétaires étaient des amis du roi. Ils avient, en leur possession, un couple de servant. La servante eut une enfant, une magnifique petite fille. Quatre auparavent, l'homme du manoir eut de sa femme un merveilleux garçon, mais perdit sa femme lors de l'accouchement. Le petit riche avait à ce moment trois ans. Lisez bien, cher lecteur, l'histoire d'Anna Lebois, la fille de la servante d'un homme riche.

Des pleurs. Une voix douce calmant la peine du poupon. Les pleurs baissèrent. Le poupon n'avait encore que quelques jours. La mère de cette petite avait reçut de son patron, un congé de trois semaines pour s'occuper de son bébé. Ensuite, elle devra la transporté avec elle dans ses taches où la confier à la gouvernante de la famille. La petite n'aura pas tous les privilèges, mais elle pourra être dispensé de travaux jusqu'à ses cinqs ans. Alors là, elle devra commencer à travaillé avec sa maman dans des tâches ménagères. Pour l'instant, la petite ne savait rien de ceci. Elle ne faisait que regarder le monde avec ses grand yeux noisette. Déjà, elle avait une petite tignasse brune. Ses cheveux changeront sûrement de couleur pour devenir comme ceux de la jeune mère de 18 ans, d'un magnifique blond roux. La mère plaça le bébé dans un berceau et prépara du lait pour son bébé.

La mère s'occupa de son enfant pendant tout le temps de ses vacances. Puis vient le jour où son travail devait être reprit. Pendant les siestes de sa fille, elle avait réussit à fabriqué un sac pouvoir gardé son bébé sur son dos. Quand son travail pouvait être dangereux pour son enfant, elle la confiait à la gouvernant, une femme au coeur aussi grand que son âge. Cette femme avait 56 ans. Elle travaillait dans ce manoir depuis la naissance du propriétaire. Elle avait été la pseudo mère de la femme de 18 ans. Maintenant, elle était la gouvernante du nouveau né. Le garçon de la famille, le plus vieux des enfants, était aussi gardé par la gouvernante.

Celui-ci n'était pas jaloux, ayant tout ce qu'il voulait, mais il était intrigué par le poupon. La gouvernante était gentille avec les deux, mais son poste l'obligeait à gâté le petit riche. La servante était seulement nourrit et s'amusait seulement si le petit le voulait. C'était injuste, mais c'était la rêgle.

Pour l'instant, la petite n,avait rien à y faire, elle dormait presque tout le temps. Le garçonnet, lui, courait partout et jouait alors que la gouvernant faisait balancer le berceau. Quand venait la jeune mère, la gouvernante lui redonnait son enfant. Le petit, la première fois, demanda pourquoi la servante prenait le bébé. La réponse l'étonna.

-Parce que c'est sa maman.

Lui qui croyait avoir une petite soeur...Tant pis. Elle est fille de servante, alors il a des droits qu'elle n'a pas. Cela calmait son égo. Par contre, il trouvait quie la gouvernante s'occupait trop d'elle. C'était chez lui, elle n'avait pas le droit!

Maria, la jeune servante de 18 ans, avait son bébé sur son dos alors qu'elle marchait en direction de son minuscule appartement dans la cave. Sa journée était terminer. Elle plaça son bébé dans un berceau près de son lit. Elle se coucha et s'endormit. La petite étant un bébé très calme, elle ne pleura qu'une fois pendant la nuit pour du lait.

Puis les jours avancèrent. Elle était loin d'être gâté par la gouvernante, mais elle n'était pas mal traité non plus. Le propriétaire était intelligent. Plus l'enfant était en santé, mieux l'enfant travaillerait. Par contre, cela ne signifait pas qu'elle devait être heureuse. Le propriétaire ne pensait qu'à son profit, comme tous les riches.

La mère, elle, ne souhaitait pas cette vie pour sa fille. Sa fille, la pupille de ses yeux, celle qu'elle a mit au monde. Maria avait eut toutes les possibilité du monde de devenir riche. Elle avait été une femme très courtisé. Par contre, elle avait préféré le coeur à l'argent, et sa fille allait en payer le prix, autant que sa mère. De plus qu'elle avait été élever dans une famille riche, elle n'avait jamais été considéré comme une femme, mais plutôt comme un objet qui pouvait faire le ménage et la cuisine. Si son patron le voulait, il pouvait bien la renvoyer ou même, la vendre. Son mari ne pouvait rien dire. Son avenir de tenait qu'à un fil, celui-ci attaché aux doigts du riche.

Le fils du riche risquait d'être identique et d'obliger sa fille à travaillé pour lui. Puisqu'il allait hériter du manoir, il héritait, en même temps, des servants de la maisonné.

Le manoir était comblé de deux enfants. Un de 5 ans, l'autre d'à peine 1 an. Le petit avait déjà les cheveux de la bonne couleur, soit blond clair, comme sa feu mère. Ses yeux était d'un bleu perçant et autoritaire. La petite, elle, avait une petite tignasse rousse blonde. Ses yeux noisettes s'ouvrait sur le monde qu'elle commençait à peine a exploré.

La jalousie était un vilain défaut. Heureusement pour la petite servante, elle était loin de l'être et son bonheur se résumait souvent à regardé une fleur ou le vol d'une abeille dans le jardin de la feu maitresse de la maison. La fillette ne savait pas encore marcher, mais elle faisait d'énorme progrès. La chère mère d'Anna s'occupait du jardin. Il y avait des fleurs de toutes les couleurs. Du jaune pâle, du bleu nuit et du rouge, comme l'amour. Les fleurs étaient les plus belles du coin, peut-être du Vaquali. La maman de la petite l'avait averti de ne pas touché les belles fleurs et d'éviter de s'énervé dans cet endroit. Même le petit prince du manoir ne venait pas s'amuser dans ce coin du jardin.

Anna préférait regardé la beauté du jardin que de s'amusé avec un des cerceaux. Elle marchait à quatre pattes dans le jardin funéraire. Quelqu'un la prit par la taille et la souleva. C'était sa mère qui travaillait dans le jardin à cette heure. Anna commença à glousser. La maman emmena sa fille et la confia à la gouvernante. Le petit riche était là. Il joua avec des chevaux en bois et un château de bois et de verre, peinturé avec de magnifiques couleurs. Anna se retourva assise sur le sol et regardait le chateau. Toutes ces couleurs, c'était très agréable à voir.

Le petit riche, lui aimait joué devant Anna car il savait qu'elle ne pouvait pas touché à ses jouets s'il ne le voulait pas. Ce qui arrivait fréquemment. Par contre, il était un peu jaloux de cette fille. Elle, elle avait une mère. Pour un garçonnet de 5 ans, c'était une très bonne raison. Pour une fillette de 1 an, cela était incompréhansible de ne pas avoir de "maman".

Chaque soir, Maria venait cherché sa petite et allait la couché dans son petit lit. Puis, le lendemain, amenait sa petite Anna dans la cuisine avec elle et la surveillait en nettoyant de la vaisselle. Pour Anna, cela était du plaisir. La cuisinière lui préparait un petit déjeuner et lui offrait, de temps à autre, quelques petites friandises si elle était calme. Puis, Maria prenait sa fille et l'amenait avec elle dans le jardin. Pendant que la femme arrosait et enlevait les mauvaise herbes, Anna regardait autour d'elle avait un sourire d'extase.

Anna avait une vie simple pour l'instant. Elle ne s'en plaignerait surtout pas. Elle commençait à peine à marcher et ses paroles était encore incompréhensible. Parfois, la petite s'endormait au soleil. Puis, elle ouvrait de nouveau ses yeux sur le monde, un monde qui allait devenir de plus en plus cruel avec elle.

Cruel dans plusieurs sens. Elle n'était encore qu'une innoncente petite fille qui savait s'amuser qu'en regardant un nuage. Tellement innoncente que cela se voyait dans ses yeux. Tellement innoncente que sa mère la gardait toujours avec elle, comme si elle avait peur de quelque chose.