Les retrouvailles

Tracy sourit. C'était la première fois qu'elle allait faire apparaitre son épée sans caché l'apparession.

-D'accord...

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D'une main sûre
Elle la plaça, comme un mur
Pensant très fort à son sort
Faisant apparaitre la mort

Les deux mains sur les poignées
Et ce, sans hésiter
Elle fonça tête première
Et apparut derrière

Ses yeux couleur du sang
Rapide comme le vent,
Elle se battait pour sa gloire
Mais surtout, pour sa victoire

D'un pas agile, il la surpris
Comme une ombre dans la nuit
D'une manière bestiale, ils se battèrent
Sans un moindre bruit, que la nuit gère

Essouflée, après une longue bataille
Elle voulait voir sa médaille
Les cheveux défait, la mine abattue
Elle se sentait presque perdue

Sa fine robe de soie
Collé contre son corps
Elle fut à deux doigt
De foncer, encore

Son visage recouvert de terre,
De sa fureux, recouvert
Elle se prépara à bondir
Et son épée, à brandir

Le tissu souple,
L'épée en couple,
Elle renonça à la perte
Puisque mort égal défaite

«Tu ne peux pas m'arrêter»
Fut ses paroles
Et pour se prouver,
Elle sauta du sol

Ses armes au poign,
ses jambes pliés,
son pouvoir activé,
il voulait faire un point.

Glissant par terre,
sautant en l'air,
Esquivant et frappant,
sur le rythme d'un chant.

Mystérieux, invisible.
Rapide, fluide,
Tel était le combat,
De Tracy et de Lioka.

Coup pour coup,
seconde pour seconde,
tel un loup,
dans la nuit qui féconde.

Deux enfants de la terre,
Une dague sur le coeur,
Une dague en fer,
Nest déclara: Meurt.

Pour lui, une dague sur le coeur
Pour elle, une dague sur la gorge,
Le moindre mouvement, petit bruit de gorge,
et les deux mouraient en choeur.

N'osant pas bouger
Sachant la conséquence
N'osant pas déplacé
Son arme d'enfance

La dague contre son cou,
Elle évita de parlé
Hésitant beaucoup
sur le moyen de bouger

Les deux ombre de la nuit
Ainsi coincé
Sachant que si l'autre fuit
Il aurait gagné

Les deux êtres de gloire
Ne voulant pas se déplacé
Tracy chassa son désespoir
Car il pouvait bien gagné

Elle ne fit pas un pas
Même si l'envie la démangeait
Car si elle le faisait
Elle ne vivrait pas

N'osant pas abandonné
Même si cela lui aurait coûté
Elle tenait trop à son nid
et tout ceux qu'elle avait nourrit

La lune au dessus d'elle
Cette lune éternel
La seule témoin
Des vautourds, le festin

Le stress dans son corps,
Relachement des muscles,
Il ne voulait pas gagner de l'or,
mais un combat justes.

La condition de victoire,
La concentration extrème,
Tuer l'autre poire, (C'Était voulu)
Sans être touché par la flème.

Ses souvenirs d'enfances,
volant vers la lune,
Rapelle a lui sa pense,
son pouvoirs, ses runes.

Il voudrait faire un pas,
un seul,
dire que c'était un beau combat,
Qu'il laissait la victoire pour elle seul.

Charognard volant,
sentant la mort venir,
le soleil se levant,
Dans le destin, on peux lire.

La fin est inévitable,
car si l'un bouge,
Il se formera dans l'étable,
Une tache rouge.

Nest pense encore,
mais la fin est proche.
Il sent la mort,
Comme sur la tête, une roche.

S'il laisse tomber son couteau,
les deux meurent,
la mort arrivent avec sa faux,
de la fin, approche l'heure.

Que faire...
Que faire...
Que faire...
Que faire...

[Après consultation, le combat est à égalité]

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Son arme toujours en main, elle savait qu'elle risquait d'être coincé ainsi. De plus que sa robe, très mince, était déchiré a quelques endroits après leur lutte sur le sol. Elle sentait très bien la pointe de la lame contre sa gorge. Elle sentait aussi son battement de coeur dans ses oreilles, comme si sa fin était proche.

-Baisse ton arme, et je baisse la mienne.

En fait, elle n'allait pas la baisser, simplement la faire disparaitre. Cela lui évitera de gardé la lourde arme encore longtemps. Elle était épuisé et le temps qu'elle avait prit à ce préparé pour ce coucher n'avait valut à rien. Elle devrait ce recoiffé et se nettoyer. Elle recula un peu son arme, montrant qu'elle n'allait pas le tuer.

Nest sourit et rangea son arme. Après s'être relevé, il déclara: Tu t'est bien battu. Bravo...

Elle se releva aussi, ignorant le commentaire de l'homme. Elle lâcha son arme, celle-ci disparessant avant même d'avoir touché le sol. Elle regarda sa robe, maintenant sale et complêtement détruite.

-Génial...

Elle tourna les talons et se dirigea vers son auberge. Elle n'avait pas besoin d'être commenté sur son potentiel de combat. Depuis sa tendre enfance, elle devait savoir se battre pour pouvoir protégé le peu de liberté qu'elle avait.

-Entré donc avant que je barre la porte.

Elle attendit, sa sillouhette dans le cadre de porte. Elle attendit, patiemment.

Nest entra et retourna se coucher.

Ce ne fut aps long qu'elle fut couché, habillé avec une nouvelle robe. Elle lâcha un soupir d'aise, relaxant chacun de ses muscles et enfonçant sa tête dans son oreiller. Elle s'endormit, se sentant plus légère après avoir évacuer toute sa rage. Il était fort, cet homme.

Nest se réveilla en plein millieu de la nuit. Il marcha en faisant le moin de bruit possible jusqu'a la cuisine. En chemin, il tomba nez a nez avec...

*Pas encore lui*

-La cuisine est interdite au client.

Elle s'accota contre la table et le regarda. Elle était encore légèrement blessé par la bataille de la veille. Quelques égratigure au visage seulement, mais rien d'alarmant.

-Ho! Bon bon, très bien. Mais, est-ce que je pourrais seuleument avoir un grand verre d'eau!!!

Elle le balaya du regard. Elle prit un verre, versa de l'eau et lui tendit.

-Voilà votre verre.

Elle lui tendit. Il but, mais, sans qu,elle sache comment, le verre cassa dans ses mains. Une minuscule morceau de verre coupa le revers de sa main. Une minuscule ligne de sang coula. Sans qu'elle puisse se contôler, son arme apparut. Avec la barre d'argent de son arme, elle coinça la tête de l'homme contre le mur. Agressive? Presque pas...

-Qui êtes vous?

Sa voix avait quelque chose de...mauvais, de sadique même. Plus dut out la même voix qu'avant.

[96 mots]

Elle commença à rire. Un rire sinistre. Un rire qui ne lui ressemblait plus. Elle se prépara à combattre, une main dans chaque poignée, poignée créé que pour elle, que pour ses propres mains, depuis sa naissance. Cette sensation que lui donnait la simple vut du sang, une sensation de fureur incontrôlable et de puissance absolue. Tous ses massacres revinrent dans sa mémoire. Chacun plus sanglant les uns que les autres.

-Vas-y, attaque. Montre moi ce que tu as dans le ventre!

Soudainement, ses yeux semblait montré toutes les horreurs qu'elle avait fait de ses mains, de sa propre volonté. Des hommes coupés en deux, des femmes avec la gorges tranchées, des enfants de haut et bas âge avec les membres coupés soigneusement, laissant coulé tout le sang qu'il avait dans leurs maigres corps. Tout cela n'était que pour Frank. Tout cela n'était que pur plaisir contre tout ceux qui osait faire couler son sang, osé de couper sa chair tendre et innoncente.

-Qu'attends tu? Aurais-tu peur?

Elle recommença à rire. Elle n'était plus elle-même. Elle n'était plus l'aubergiste qui ne faisait que stoppé des bagarres. Elle montrait son passé dans ses yeux : un passé douloureux et sanglant.

[199 mots]

Ce qu'il lui dit ne l'affectait pas. Elle, avoir souffert? Non. Elle avait fait souffrir et n'allait pas arrêté. Il rangea ses dagues et sorti une épée. Celle-ci se transforma en une arme semblable à la sienne, mais plus courte et sûrement plus légère. Il l'attaqua par la gauche. Par réflexe, elle passa sous la lame, tourna sur elle même et plaça sa propre lame contre la nuque de l'homme. Les deux dagues qu'il avait lancé se retrouvèrent quelque par dans sa cuisine. Elle n'était pas une imbécile. Ce truc avait déjà été utilisé contre elle.

-Tu ne sais rien sur moi, cher. Souffrir...c'est ma vie. Souffrir et faire souffrir. Tuer pour tuer, mutilé pour mutilé...J'ai massacré des familles entière que par plaisir de le faire. Je n'ai aucun remord dans mes actes et je vais le refaire n'importe quand.

Elle appuya sa lame contre sa nuque, sans pour autant coupé la chair, même si son esprit, maintenant complêmement fou et désireux de sang frais, lui sugérait de coupé légèrement sa nuque, de poursuivre son découpage vers le bas et de tracé une magnifique ligen de sang dans son dos. Ensuite, elle l'étranglerait juste assez pour le rendre incontient, l'attaché dans un lieu tranquille et le torturé pendant des heures pour le simple plaisir d'entendre de nouveau des cris de mort, de douleur, de souffrance...Elle en avait des frissons.

-Une femme comme moi se ferait tué par les "justiciers". Pendue, comme chaque meurtrier. Sais-tu la sensation que procure de tuer une personne, de voir sa douleur dans ses yeux, de le torturé et d'entendre ses cris de douleur résonné dans sa tête? Moi, j'adore.

Des frisons de plaisir refoulé dans une femme imposante. Une aubergiste. Qui pouvait la comprendre? Qui pouvait savoir que l'horreur était sa mère et que le sang était le seul réconfort dans ce pauvre monde? Elle frappa l'homme à la nuque avec la barre d'argent et le bloqua au sol comme elle l'avait bloqué sur le mur. Elle était au dessus de lui et faisait en sorte qu'il puisse respiré, mais très peu. Elle planta son regard devenu enflammé de rage, mais froid, aussi glacé que son coeur, en ce moment même.

-Mon frère a tenter de me vendre comme putain. Ma "beauté" attirait les hommes dans mon village. Qui aurait dit non a une innoncente petite fillette de 10 ans? Une magnifique fillette au cheveux noir gris et au regard rouge sang. Sale salaud qu'il était. Vas-y, répète que je ne vais aps souffrir longtemps! J'ai souffert pendant 12 ans!

[425 mots ^^]

Elle éclata de rire. Comme si ses insultes la touchait!Il l'attaqua avec des dagues. Elle bloqua la plupart des dagues avec son épée double, tenta d'évité la dernière, mais elle rata son dernier coup. La dague se planta dans sa jambe, laissant coulé un mince filet de sang. Elle lança son arme avec fureur vers l'homme, le bloquant contre le mur. Malgré qu'il tentait de poussé l'épée double, elle restait coincé contre le mur, planté à l'intérieur.

-N'essaie même pas de t'en défaire! Je contrôle l'arme sans même y touché. Tu sais quoi? Le fait que je sois "pourit" à l'intérieur ne me blesse même pas! Tente seulement de me blessé de nouveau et cette même épée va te coupé en deux, sans même que j'ai bougé un seul de mes doigts. Incroyable, non?

Elle prit une assiette et la lança très près de la tête de l'homme. Un morceau coupa la joue de l'inconnu, seulement une mince petite ligne, à peine une égratignure. Elle prit un verre et le lança aussi, le ratant volontairement.

-Moi? Ne pas surpassé mes ennuis? Je ne suis pas assée lache pour changer de personnalité! Comme si j'avais décidé! En fais, cela m'a rendut plus forte et plus imposante que jamais. Mon frère? Qu'il aille au diable! Je n,ai jamais dit être la seule a souffrir, mais ma souffrance me tient en vie, me rends encore plus ivre de joie qu'avant. Tuer? C'est être au septième ciel! Torturé et entendre la mort près de soi, c'est se sentir si puissant! Tu n'as jamais senti ça?

Elle rit de nouveau. Comme si être détesté la touchait! Elle ne voulait pas d'amour, elle ne voulait pas d'intime! Elle ne voulait qu'une vie libre, sans homme pour l'empêcher de faire ce qu'elle voulait. Pas d'amour, pas d'allié, que des complices et des protégés. Rien de plus, rien de moins! Si cet homme voulait détruire sa vie, il devra lui passé sur le corps!

-Je ne vais pas te laissé détruire ce que j'ai construit, encore moins l'insulté.

[Flashback]

-Une femme comme moi se ferait tué par les "justiciers". Pendue, comme chaque meurtrier. Sais-tu la sensation que procure de tuer une personne, de voir sa douleur dans ses yeux, de le torturé et d'entendre ses cris de douleur résonné dans sa tête? Moi, j'adore.

[Fin Flashback]

Cette sensation, elle la sent encore lui picoté les doigts, la faire volé dans un monde où elle décide des vivants et des morts, de ceux qui doivent souffrir et ceux qui le doivent pas. Cette sensation de pouvoir, elle l'adorait, oui, mais elle ne pourrait pas vivre sans. Enfin...quand elle perd les pédales, elle le veut!

Ce problème mental lui date de ses dix ans, après ce que son frère lui avait fait. Pendant cinq ans, sa vie avait tournée autour de sa folie, de ses meurtres et de ses envies de vengeance et de puissance. Puis, à ses quinze ans, elle a réussit à se reprendre en main et se contrôlé sur ses pulsions agressives. Depuis, elle avait que quelque petit problème à controlé son problème mental dès qu'elle voyait son sang, un peu comme une clé ouvrirait son passé, lui rappelant ses cinq ans de folie, mais de puissance interdite. Elle avait toujours ce fond de folie, mais jamais il n'avait duré aussi longtemps dans un combat.

Cet homme avait un drôle d'effet sur elle. Elle ne c'était jamais battue avec autant d'ardeur. Jamais. Elle n'avait jamais pensée que ce n'était pas toutes les vies qui dépendaient d'elle.

-Si tu n'aimes pas mon auberge, quitte là! c'est aussi simple que ça, mon beau. Moi, je ne vais pas me gênée pour te faire souffrir, surtout que tu as de l'expérience...non? La douleur physique est bien moins pire que la douleur psycologique, cher.

Elle se plaça à quelques centimètres de son visage, prenant l'arme dans ses mains et l'écrasant de plus belle. Elle savait qu'elle répétait ses erreurs, mais c'était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour l'étranglé et ensuite faire ce qu'elle aurait dut faire depuis longtemps. Elle fit disparaitre son arme pour ensuite prendre le cou de l'homme avec ses mains et tenter de l'étrangler. Elle enfonçait ses ongles noirs dans la chair ferme de l'homme. Ses yeux crachait des flammes de fureur et de joie, d'ivresse.

Il essayait de dégagé ses mains, utilisant un mystérieux pouvoir pour l'éloigner. Seulement, elle ne voyait que la mort, qu'un bain de sang, que de la puissance. Sa conscience tentait de reprendre le contrôle de sa folie, de l'enfermé de nouveau dans un sombre puit, dans son esprit. Elle ne comprenait aps pourquoi tant de fureur envers cet homme en particulier. Puis, elle compris, en fixant le regard de l'homme.

La même lueur, la même puissance muette que son frère produisait. La même force qu'il avait utilisé contre elle, ce fameux soir de ses dix ans. Une force de l'esprit, une force de l'âme. Une force qui aurait put être utilisé pour elle, et non contre elle. Voilà pourquoi elle voulait tant le voir souffrir, pour pouvoir souffrir en même temps son frère, dans le corps d'un parfait inconnu, un homme qui ne méritait sûrement pas un chatiment.

Elle n'en méritait pas non plus, elle méritait plutôt qu'on l'aide à sortir de sa folie, qu'elle retrouve son contrôle et qu'elle redevienne l'aubergiste qu'elle était. Elle n'était pas ainsi d'ordinaire. Ses yeux commençaient à perdre un peu d'intensité, mais revint rapidement aux souvenir de son frère...

[914 mots! Je suis super fière de mon message ^^]

-ARIS! ARIS! Attends moi! Cria Jist Lioka du haut de ses petites jambes.

En trébuchant un peu, il courut après son grand frère. Ils étaient tout les deux dans les champs de la colonie, parmi le blé et le maïs.

-Aris!

Le dénommé Aris se retourna et s’agenouilla en regardant Jist dans les yeux.

-Un jour, commenca Jist, je deviendrais aussi grand que toi… Et alors, tu ne pourras plus du tout me battre!

Aris ria :

-Et bien commence par m’attraper! Cria Aris en courant dans les champs.

Jist se lanca a sa poursuite en riant. Deux heures plus tard, assit au bord de la falaise, Jist Lioka regardait le firmament avec son grand frère. Aris prit la parole :

-Tu sais Jist, je ne suis pas vraiment ton frère. Tu as été adopté après le massacre de ta famille par les notres. Je tenais a te le dire même si je t’aime comme un frère…

Jist attendit un peu, regarda l’étoile rouge, Mars, qui était sa préféré, et prit la parole :

-Je sais Aris, que je ne pourrais pas rester ici indéfinniment. Quand j’aurais 15 ans, dans 5 ans, je devrais partir et m’en aller. Mais pour le moment, j’ai perdu toute ma famille et il ne me reste plus que toi. Pour moi, peu importe que tu sois mon vrai frère ou non… Ce qui importe, c’est que je sois avec toi et que tu sois gentil avec moi.

Aris détourna la tête, cacha ses larmes, et serra Jist dans ses bras.

Jist souri, car il avait vu les larmes, et il savait que son grand frère l’aimerait pour toujours.

-Allez viens, dist Aris en se levant, maman va nous attendre.

***

Nest fut interrompu dans le fil de ses pensée par un choc soudain et violent qui le plaqua contre le mur. Il vit l’épée qui le coincais dans le mur… C’était donc ainsi qu’il allait mourir, sans avoir l’occasion de se venger de Aris? Non! Il ne pouvait pas mourir ainsi. Il avait une personne a tuer avant, et il s’en occuperait comme promit. Il avait tout renié, il avait vu sa sœur adoptive se faire torturé sous ses yeux. Il s’était fait torturé, et tout ca sous le regard amuser de Aris. Ce même Aris qui l’avait aimé et adoré. Il essaya de se libéré de l’emprise de l’épée, mais la poigne était trop puissante. A court de solution, Nest commenca a déchirer son vêtement pour s’enfuire. Il vut soudainement la fille aux yeux rouges foncer vers elle.

3 secondes avant l’impact…

Nest tirait, déchirait avec ses dents, mais rien n’y faisait.

2 secondes avant l’impact…

HA! Le tissus commenca a déchirer légerement, puis, de plus en plus vite…

1 seconde avant l’impact…

***

Jist couru vers la maison de sa mère, tout fière de pouvoir montré sa dernière découverte. Il écarta le rideau de fleur ( des lilas mauve) qui composait la porte pricipale et entra en courant dans la maison. Slaloment entre les objets, Jist arriva finalement à la cuisine.

-MAMAN!!! Cria-t-il…

Elle n’était pas dans la cuisine. Il monta donc à l’étage supérieur quand il entendit un cri de douleur. Il vit sa mère adoptive, elle qui l’avait aimé, se précipité vers lui.

-JIST! VA TANT! VA… cria-t-elle, mais sans jamais pouvoir terminer sa phrase, étant donné qu’une longue flèche dorée lui transpercait le corps…

Jist resta prétrifier sur place… Quand l’énorme monsieur muscles déscendit les éscaliers et le prit comme un sac de patate, il ne réagi pas. La seule fois ou il réagi, ce fut quand sa mère adoptive leva un regard plein de déséspoir vers lui…

***

Tracy Wolf cogna de plein fouet Nest, qui s’écrasa contre le mur en chêne qui s’enfonca légerement. Il se débatti, mais la femme a l’épée double ne se laissa pas faire et lui prit le coup afin de l’étrangler. Elle commenca a serrer, serrer. Malgré la dague dans sa jambe, elle avait toujours une force hérculeinne. Nest commenca sérieusement a manquer de son précieux air. Mais il devait tenir au moin 3 longues minutes, le temps que le poison dont était enduit la lame de la dague se répande patout dans le corp de Tracy Wolf…

Il se débatti, le plus fort qu’il le pouvait, mais la femme qui l’étranglait était tellement en colère que sa force déjà prodigieuse s’était décuplé par quatres. Pour résister a la douleur. Nest attrapa le chêne de derrière et le serra. Il réussi a en arracher un morceau, et il le planta de toute ses forces dans les côtes de Tracy Wolf. Malgré cela, elle ne bougea pas et contunia a étrangler Nest.

Encore deux minutes et demi… Deux longues minutes…

***

La pièce ou on avait jeté Jist mesurait, a vue d’œil, deux mètres de haut et 5 de large. Les murs était peint en noir et des taches rouges, probablement du sang, tachaient les murs un peu partout. En face de Jist, il y avait un autre fauteuil semblable à celui sur lequel on avait attaché Jist. Deux barre de fer lui serrait atrocement les poignets et diverses instruments de torture tout aussi effrayant les uns que les autres couvraient les murs. Un homme de grande taille entra, que Jist reconnu pour être le bourreau du village. Sa petite barbe taillé en pointe lui donnait un air, qui, selon Jist et son grand frère Aris, était completement ridicule. Il ouvrit la bouge et Jist put apercevoir deux dents pourri depuis belle lurette en premier plan. Sur le bord de vomir, Jist se retint de justesse et affronta l’homme dans les yeux. L’homme s’approcha de lui et placa sa bouche a la hauteur de son nez. Puis, il expira juste un petit peu d’air, une petite quantité mais tellement rempli de puanteur que Jist vomi ses derniers repas.

-Alors, commenca l’homme d’une voix grave mais aussi irritante qu’une craie sur un tableau, vas-tu parler???

Jist ouvrit la bouche pour demander de quoi il était accuser mais un gout extrèmement désagréable emplie sa bouche et il cracha par terre.

-HAHAHA! Comment trouve tu ma torture? Demanda l’homme en riant aux éclats.

Jist ne répondit pas, ferma les yeux et arreta de respirer. Comme l’homme voyait que ca ne marchait pas, il sortit de la pièce. Jist ouvri une paupière, craignant que l’homme soit encore la, mais comme ce n’était pas le cas, il ouvrit les deux yeux et respira a fond. La porte se rouvrit quelque temps plus tard. S’attendant a voir l’homme puant, il s’appreta a détourner la tête, mais il se rendit compte que c’était Aris qui se tenait devant la porte et qui entrait. Derrière lui se tenait sa grande sœur adoptive, Léa. Aris attacha Léa dans le fauteil en face de Jist.

-Jist, je suis vraiment désolé de faire ca, commenca t-il, mais toi et Léa êtes accusée de haute trahison. Nous avons retrouvé un homme mort la nuit dernière. Il était horriblement mutilé, et nous pensons que c’est Jist qui a entrainé Léa dans l’aventure contre son grés. Je suis donc forcé de vous torturé afin de vous faire avoué vos crimes.

-Aris, commencais-je, ne fait pas l’idiot, tu sais très bien que ce n’est pas moi ni Léa qui a tué cet homme. N’est ce pas?

Aris me regarda. Au début, son regard était dur comme du fer mais a force de me regarder dans les yeux, son regard devint incertain et triste.

-Je sais Jist, mais je n’ai pas le choix…

Et en prononcant ses mots, il planta sa dague de toutes ses forces dans la main de Léa qui cria a s’en fendre les poumons.

-Y a-t-il un de vous deux qui désirent avoué quelque chose?

-ARRETE ARIS! TU EST ENTRAIN DE TORTURÉ TA FAMILLE! TA PROPRE FAMILLE!!!

-Vous n’êtes pas ma famille, répondit-il, vous êtes des meurtiers…

***

Nest ne voualait pas mourir. Il donnait des coups, frappait, mordait, se débattait intensément afin de faire lacher prise a Tracy. Mais rien n’y faisait, elle ne voulait pas arreter de l’étrangler. Ca fasait maintenant une minute que le poison avait commencé a se répandre, et il en restait deux avant que le poison finissent de se répendre et commence a agir. Deux longues et pénibles minutes pendant lesquels Nest chercherait son air afin de ne pas mourir. Il glissa ses deux doigts en dessous de la main de Tracy, en fait, entre sa main et son coup. Il poussa de toute ses forces contre la main de Tracy, et réussi à l’écarter de quelque centimètre et de reprendre son air pendant quelques secondes. Il sourit. Finalement, tout n’était peut-être pas perdu. S’il récupèrait son air deux ou trois fois de cette manières encore, il pourrait survivre jusqu'à l’arrivé du poison.

***

-Vous n’êtes pas ma famille…

Ces mots résonnèrent dans la tête de Jist, encore et encore, et le faisant plus soufrir que tout ce qu’il avait pu vivre jusqu'à maintenant, tout ce qu’on avait pu essayer de lui faire pour lui faire cracher le morceaux. Il se débattit, hurlant qu’il turait Aris, qu’il le jurait sur la tête de sa sœur.

-la tête de ta sœur! S’exclama t-il en riant! Bientôt, vous n’aurez plus de tête, ni toi, ni elle…

Jist serra les dents, en dorca contre les foutus bracelets de métals qui le retennait en place. Il forca, forca encore, mais ne réussi pas a ce libéré.

Aris éclata de rire quand Jist recommenca sa promesse de le tuer.

-Ta sœur, elle n’as plus de tête!

Et d’un geste vif, il trancha la tête de sa sœur qui roula a ses pieds.

-JE VAIS TE TUER!!!! JE-VAIS-TE-TU-ER!!!!!!!

Jist forca contre les bracelets, s’arc-bouta, ignorant les commentaires sarcastiques de son ancien frère adoptif. Il arracha un bracelet. Puis, il arracha l’autre. Et dès que ce fit fait, il partit a la poursuite de Aris qui avait soudainement arrêter de rire. Il poursuivit Aris dans les petites ruelles, le visage déformer par la colère et la haine… Soudain, Aris se retourna, prisonnier d’un cul de sac. Jist s’approcha lentement, savourant chaque seconde de sa vengance. Aris! Lui qui l’avait trahi, lui qui l’avait torturée, lui qui l’avait aimé pour ensuite le détester… Il sortit sa dague qu’il portait toujours sur lui. Il s’approcha lentement de son frère, savourant chaque pas, et soudain, d’un geste vif, bondit et creva l’œil droit de Aris qui hurla. Tout le quartier fut averti et commenca a se diriger vers le lieu de baggare. Alors que Jist pestait contre la tornure des événement, une flèche enflammés vint se planter dans la chaumière a coté de lui, faisant prendre feu aux quartiers.

-Alertes générale, criait aux loin les services de la ville, la ville est encerclés!

Dans l’urgence de la situation, Jist revint a ses instains premier et bondit pour échapper aux flammes, laissant Aris en esperant qu’ils meure brulé ou étouffer.Malheureusement, Aris ne mouru pas ce jour la et s’enfuit de la ville avec quelques autres survivant. Jist ne le sut jamais, mais il avait toujours su que Aris n’était pas mort ce jour la, et qu’il n’avait pas fini sa vengance. Se prommetant de le retrouver et de le tuer, Jist s’enfuit de la ville et repris son errance a travers le monde. Plus tard, dans une petite auberge du Nadali, il rencontre la désagréable impression que Aris est encore vivant et surtout, qu’il est dans les environs immédiats de la région…

***

Alors c’est ainsi que je vais mourir, étouffer par ma propre cupidité, étouffer parce que j’avais soif ce jour la?

Nest commencer sérieusement a manquer d’air et commenca a paniqué pour de vrai.

NON! Je ne peux pas mourir comme ca! Je n’ai pas encore tué Aris. Toute ma vie, je l’ai poursuivie a travers le monde, et maintenant que je sens qu’il est a porté de main, je mourerais? Non. Ca ne marche pas. Je veux vivre. Vous m’entendez les dieux? JE VEUX VIIIIIVRE!!!!!

Nest poussa la main de Tracy Wolf, qui la replaqua aussitôt sur sa gorge. Soudain, il sentit l’emprise baisser sur sa gorge, les doigt se désserer : Le poison commencait a agir…



[2030 mots]

Que...que se passait-il! Pourquoi sa force disparait! Pourquoi ne peut-elle pas tuer cet homme!! Sa main commençait à ne plus lui répondre. Sa respiration accéléra. Elle n'allait pas laissé filé cet homme! Surtout pas avec cette force, la même que son frère! Un être de sang qui l'a trahit, qui a tenté de la vendre, qui a tenté de la tuer!

[Flashback]

Elle sut enfin ce qui ce passait. Son frère, pendant toutes ces années, ne l'avait pas aimer pour ce qu'elle était, mais parce qu'elle était tellement intriguante qu'elle attirait les regards! Il allait la vendre!

-Frank, non! Je ne veux pas!
-C'est le seul moyen de protégé toute ta famille, Trace. Anna, Miky...Lana...Ils ne pouront pas vivre si tu reste à la maison.
-Je...je ne veux pas! Non! S'il te plait!
-Tu viens, point.
-NON!!

L'arme apparut. Elle la tena, empêchant Frank de s'approcher. Il sorti un poignard. Il s'approcha, sans se soucier de l'arme de sa soeur, une arme qui ferait tout pour cette fille. Il s'approcha, contourna sa soeur et lui coupa le bras. La fillette de 10 ans poussa un cri et coupa, par la même occasion, la joue droite de Frank.

Elle fuit, portant en même temps un lourd souvenir, un souvenir qui sera probablement la cause de nombreux problème.

[Fin Flashback]

Elle ne pouvait pas mourir. Pas maintenant. Pas après tout cela. Pas après toute cette souffrance, alors qu'elle trouvait enfin sa paix, qu'elle pouvait enfin vivre sans faire sortir sa folie, sa fureur.

-Qu'à...qu'à tu fais!

Elle enleva la dague de sa jambe et tomba à genou. Elle planta, avec fureur, la dague dans le sol.

[Flashback]

Une famille...heureuse. Comme si elle pouvait toléré cette vision. Elle cogna, se présentant comme une pauvre petite fillette de 11 ans, seule et affamée. Ils lui offrèrent un petit repas, mais rien de plus. Une famille avare, une famille qui ne méritait pas qu'elle voit.

Durant la nuit, elle tua les parents et tous les enfants, sauf la plus jeune. Elle entra dans sa pièce, son arme fidèle à la main, et émit un rire mauvais. Cette fillette allait souffrir. Point à la ligne. Elle s'approcha, ignorant ses suplications de cette inconnue. Elle la coinça dans un coin et l'étrangla avec ses propres mains. Elle pouvait sentir le poul de la fillette baissé sous ses doigts, sentir sa vie disparaitre devant ses yeux. Les yeux clair de cette fille devinrent de plus en plus vitreux, de moins en moins vivant.

-Bonne nuit...

Elle laissa tombé le corps, se frotta les mains sur ses jambes, comme si touché cette fille était d'une horreur incroyable.

[Fin Flashback]

Son épée apparut. Elle se releva, toujours la dague dans la main. Avant qu'il est put s'éloigné, elle le frappa, avec sa propre dague, dans le bras. S'il restait du poison, il allait être aussi faible qu'elle dans peu de temps.

-Allez...si je dois mourir, nous allons mourir ensemble. Même si je dois utilisé des moyens injuste, tu va mourir!

Elle ne riait plus. Ce jeu ne l'amusait plus. Même si elle aimait joué, surtout avec Lana, Miky et Anna, elle ne voulait plus jouer de cette façon. Elle voulait détruire tout ceux qui lui avait causé du tort, tout ceux qui ont osé la blessé.

-Comment ma pauvre mère à put mettre au monde une fille comme moi! Mon père qui pensait qu'elle l'avait trompé...Elle est morte à mes cinqs ans...Il y a 17 ans...déjà. Pas croyable, non?

Elle se tenait après son épée, faiblissant de plus en plus. Elle pouvait sentir le poison passé dans ses veines, traversé son corps tout entier, traversé chacune de ses cellules. Elle pouvait sentir sa vue se brouillé légèrement et sa folie de "jeunesse" la quitter de plus en plus, sans pour autant vouloir arrêter de tuer. Du sang...c'était ce qu'elle demandait. Ce défoulé sur n'importe qui. N'importe quoi pour oublier son passé.

Miky...Lana...Anna...pourquoi a-t-il fallut qu'elle soit maintenant si loin d'eux? Eux, ils savaient comment la calmé, comment l'amadouer. Ils étaient bon avec elle. Ils l'avaient toujours comprise, aimer pour ce qu'elle était. Ils étaient vraiment ceux qu'elle pouvait croire et faire confiance. Pas comme...

*Rah! Il va me le payer!! Il va me le payer très cher!!*

-Il y avait du poison, non? Ne me dit surtout pas qu'il n'y en a qu'en moi! J'aimerais bien te voir sortir d'ici en vie, à la quantité de bandit et d'assassin qu'il y a de l'autre côté.

Son regard devint rêveur. Elle commença à rire. Un rire...étrange. Pas un rire mauvais, ni sadique, mais vraiment un rire joyeux, un rire clair, comme dans son enfance. Celui qu'elle n,avait utilisé qu'avec son frères et ses deux soeurs préférés.

-C'est tellement imbécile! Moi qui pensais allez voir Anna, Miki et Lana demain! Je ne pourrai même pas revoir les membres les plus précieux de ma famille! Ils ne savent même pas si je suis en vie...même chose pour moi. Il fallait bien que ma mère meurt...D'une grippe! Où a-t-elle prit cette grippe! Elle vient de nulle part!

Elle reprenais contrôle sur sa folie. Ses yeux dégageait beaucoup moins de fureur qu'avant, mais la présence de Frank était encore très insistance, très convainquante.

Frank...simplement son nom lui provoquait de la colère, de la fureur et de la haine, mais aussi un grand vide. Elle avait perdue sa famille en même temps que son bon sens. Elle avait tué pour retrouvé cette lueur, cette force mentale que possédait son frère. Cette force qui attirait les filles. Cette force qui l'avait soumise à lui, qui n'a été détruite que lorsqu'elle avait été coupé par son frère.

[Flashback]
Frank se tenait la joue, saignant abondament. Elle l'avait couper, sans remord. Elle y avait montré son arme, celle qu,elle avait caché depuis si longtemps. Elle s'était attaqué à son frère, celui qui l'avait protégé des préjuger, qui lui avait enseigné des choses, qui lui avait permis de rencontré Jake. Il l'avait toujours protégé...mais ce n'était qu'hypocrisie, que mensonge. Il voulait qu'elle soit vivante suelemen tpour pouvoir la vendre au plus offrant comme putain de foyer! Comme une femme juste bonne à allez au lit! Une femme de mauvaise réputation!

Il l'avait salit avant même qu'elle soit consciente de l'être!

-Salaud!!!

Elle s'enfuie dans le bois, laissant tout son passé derrière elle. Quelque chose se forma en elle. Une haine, une fureur incontrôlable, comme un cheval de flamme. Aucune peur, que de la fureur de la haine, une grande envie de vengeance. Une vengeance qu'elle devait exercé sur ceux qui lui ferait du mal. Sur ceux qui oserait la touché qu'avec un besoin d'elle, ou un besoin de la voir souffrir. Ceux qui ne serait pas là pour l'aidé. Ceux qui ne mérite pas de la voir. Une pensée très loin d'elle. Une pensée très loin de la petite Tracy Wolf.

[fin Flashback]

Elle tremblait. Le poison l'avait toujours très affecté. La haine remonta, la même que celle de ses dix ans. Elle sauta sur l'inconnu, tentant de l'étrangler avec le reste de ses forces. Elle ne voulait pas utilisé son arme, mais ses mains.

[Flash Back]
Elle pouvait sentir le poul de la fillette baissé sous ses doigts, sentir sa vie disparaitre devant ses yeux.
[Fin flashback]

Elle pouvait sentir le poul de l'homme sous ses doigts, mais elle ne pouvait pas sentir la vie de ce même homme disparaitre.

[Flash back]
Les yeux clair de cette fille devinrent de plus en plus vitreux, de moins en moins vivant.
[Fin flash back]

Les yeux de l'homme était toujours aussi vivant, avec la même lueur qui la narguais! La vie était encrée en lui, elle ne pouvait las l'enlevé. Elle le voulait, pourtant! Elle voulait le voir mort! Elle voulait faire couler chaque goûte de son sang hors de ce corps et ensuite sentir l'odeur autour d'elle. Elle voulait le voir souffrir, le voir mourir.

*Souffrir, mourir, douleur, souffrance, sang, vide...Toujours les mêmes, toujours les mêmes...*

L'agressivité l'avait reprise. Elle l'emplissait d'une douce force et l'encourageait à continuer à presser sur le cou de ce petit ingrat! Elle murmura, plus pour elle-même que pour parlé :

-Souffrir, mourir, douleur, souffrance, sang, vide...Toujours les mêmes, toujours les mêmes... Toujours la mort. Toujours...

Elle répétait ces mots dans sa tête, la rendant encore plus folle, encore plus insistante contre le cou, mais elle n'était pas capable de voir les yeux vitreux, ni sentir le moindre ralentissement du coeur contre ses doigts. Elle enfonçait ses ongles profondément dans sa peau, créant des blessures aussi profonde que ses ongles maintenant rouge de sang.

[Flashback]
-Tracy...tu n'es pas méchante! Ne te mens pas comme ça!
***
-Tracy, s'il te plait, ne dit pas cela! Tu n'es pas la fille du démon. Tu ne ferais même pas de mal à une mouche.
***
-Trace, ne dit pas de connerie! Tu es aussi normale que n'importe qui! Tu ne tuera pas des gens!
***
-...ect...
[Fin Flashback]

Elle entendait clairement les voix de ses proches lui répété qu'elle n'était pas la fille du démon, qu'elle ne sera jamais une meurtrière, qu'elle ne fera jamais de mal à qui que ce soit. Elle les faisait mentir, elle faisait ce dont elle avait peur lorsqu'elle était beaucoup plus jeune. Elle faisait ce qu'elle aurait jamais voulut faire. Elle n'était plus la même Tracy Wolf qu'il y a 12 ans.

Pour lui, ses gestes étaient incompréhensible. Un instant, elle ne réagissait même pas à sa présence et ensuite, elle l'étranglait de nouveau, sans pouvoir le tuer. Elle n'était plus cohérante.

[Flashback]
-ET BIEN JE LES COMPRENDS! QUI VOUDRAIT DE TOI! LA MONSTRUEUSE ET DANGEUREUSE AUBERGISTE! PERSONNE! ABSOLUMENT PERSONNE!!!!!
[Fin flashback]

-«Et bien, je les comprends. Qui voudrait de toi. La monstrueuse et dangereuse aubergiste. Personne. Absolument personne.» c'est ce que tu pense, non? Que je suis horrble, monstrueuse et dangereuse? Qui voudrait de moi? Peut-être ceux dont je protège, tous les bandits qui trouve refuge ici, loin de la pendaison, loin de ceux qui ne veulent que leur mort. Dangereuse, il le faut bien. Je dois faire sentir à mes protégés qu'il sont entre de bonnes mains. Personne ne m'aime? Un frère et deux soeurs se sont toujours occupé de moi comme quelqu'un de bon et de gentil avant qu'on détruise ma vie. Vas-y, répète que je ne suis qu'un montre. Qui m'a planté une dague enpoisonné? Toi.

Sa poigne était moins puissante. La poison commençait vraiment à la tuer. Elle ne gardait son équilibre qu'en étranglant cette personne. Quel était son nom? Quel était son passé? Savait-il son nom? Savait-il le nom de sa protégées préféré? Bridgess, sera-t-elle en sécurité si elle devait mourir? Et le cuisinier, achètera-t-il l'auberge? Sauvera-t-il son nid? Sinon, qui prendrais soin de cet endroit?

Qui saura qu'elle était morte, quand elle le sera? Qui viendra la voir sur sa tombe? Qui va seulement l'enterrée?

Des questions, toutes sans réponses.

Son anti-poison était dans sa pharmacie, à l'étage. Elle pouvait pas s'y rendre. Elle était de un trop faibre, de deux trop occupé à étrangler quelqu'un. Elle pouvait toujours demandé de l'aide, mais la personne s'occupera de lui avant d'elle et la laissera crever. Si elle avait été moins stupide et aurait mit le poison dans ses ongles! Il pourrait être aussi faible qu'elle et elle aurait peut-être même put le tuer! Elle voulait le voir souffrir! Cette idée ne la lachait pas. Ne la laissait pas tranquille, la rendant de plus en plus incontrôlable.

-Dit encore que je ne suis qu'une "banane" pourrite! Je suis peut-être pourrite de l'intérieur, mais comment être parfaite après tout ce que j'ai fait.
Je n'ai jamais dit être la seule à souffrir, mais mon histoire blesse. Un frère de sang m'a trahis depuis ma naissance. Présentement, je déçois tous ceux qui tenaient à moi. On m'as dit que je n'était pas la fille du démon, ni une meurtrière. Je suis bien un monstre, mais c'est mon seul moyen d'exister. Mais ça, tu ne peux pas comprendre! Personne ne dépends de ta vie pour survivre!!

Bridgess dépendait de son silence et de sa protection pour ne pas être reprise par son père. Tracy avait non seulement gardé son identité pour elle, mais elle l'avait aussi protégé contre tous les perverts. Elle l'avait protégé et va continuer de la protégé jusqu'à sa mort. Bridgess dépendait d'elle pour survivre sans être menacer continuellement.

Jake dépendait d'elle pour gardé son identité secrète. Il dépendait sur son amitié et sa vie pour ne pas finir pendu pour un assassinat qu'il n'a pas fait. Jake mérite de survivre, et c'est pour cela qu'elle se refusait de mourir.

-Je ne te laisserai pas mettre des vies en danger tant que je serai en vie!!!

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