Death or Alive
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Êtes vous ange ou démon, bien ou mal? Est-ce la lumière ou les ténèbres qui vous attire? Death or Alive, un monde de combat entre le bien et le mal
 
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 Une servante, un travailleur [PV Baigan]

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Anna Lebois

Anna Lebois


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MessageSujet: Une servante, un travailleur [PV Baigan]   Une servante, un travailleur [PV Baigan] Icon_minitimeJeu 13 Nov - 0:14

Une jeune servante s'ocuupait d'un jardin. Des tulipes merveilleuses, des paquerettes resplendissante, des roses magestueuses et toutes les fleurs les plus spendides. Tout ce qu'un riche propriétaire d'un manoir du Vaquali voulait. Ce jardin était le jardin où ce trouvait le corps de la femme du riche propriétaire. La servante, âgé de 15 ans depuis peu, s'occupait de cet endroit sacré. Elle arrosait, gardait la terre en santé, tout ce qu'il fallait pour rendre toutes ses fleurs les plus merveilleuse de Vaquali. Le riche homme ne faisait pas cela pour son compte, il fesait cela pour sa feu femme.

Anna Lebois, la fille unique d'une servante âgé de 18 ans de plus qu'elle. Elle n'était habillé que d'une robe simple, noire, et d'un tablier blanc. Ses cheveux, courts par utilité, était détaché et placé d'une manière à caché son visage. Elle termina sa tâche et entra dans le manoir. Elle enleva rapidement les traces de terre de sur son tablier et se dirigea vers la cuisine. Sa mère s'y trouvait, occuper à préparé le prochain repas. Elle brassait et coupait, ses cheveux tombant de son bonnet de servante. Anna n'en portait pas, elle n'avait toujours pas comprit pourquoi.

Sa mère se tourna vers elle et sourit. Elle lui demanda d'aller barrater du beure dans la cour arrière. Ce n'était pas ce que préférait Anna, mais elle se devait de le faire. Elle marcha, sans se presser, vers la cours et trouva la barrate à beure. Un objet simple qu'elle détestait utilisé. Elle s'aprocha, mit du lait dedans et commença son travail. Elle détestait cela car elle savaiT que le riche fils de l'endroit aimait la regardé alors qu'elle travaillait à lever et abaisser une simple barre de bois. Ses cheveux sautillait à chaque coup et quelques goûte de sueur coulait le long de son front.

Elle détestait réellement barrater du simple beure pour un riche crétin qui s'amusait à la regarder. C'en était vraiment frustrant. Elle arrêta, enleva sa sueur avec son bras et ouvrit le couvercle. Un craquement de branche lui fit tourner la tête vers le petit bois près de l'endroit où elle se trouvait. Son coeur battait à la chamade. Par réflexe, elle replaça ses vêtements, de peur que ce soit encore ce riche imbécile. Elle fit un pas vers le bois et dit, avec un peu d'hésitation :

-Qui...qui est là? Montrez vous.

Elle se trouva soudainement idiote. Ce devait être un animal, c'est tout. Elle regarda l'intérieur de l'objet, le referma et recommença son travail. Pourquoi s'inquiété pour rien? Elle soupira et se concentra sur son travail. Elle n'avait pas à s'inquiété...non?
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Baigan Cassel

Baigan Cassel


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MessageSujet: Re: Une servante, un travailleur [PV Baigan]   Une servante, un travailleur [PV Baigan] Icon_minitimeVen 14 Nov - 13:56

Baigan marchait dans les sous bois en silence, se maudissant intérieurement de sa mauvaise fortune. Comme à son habitude, la corvée était retombée sur lui, et l'autre idiot de Walton se prélassait dans une taverne quelconque en jurant que c'était pour chercher le fugitif. Bien sur, il ne marchait pas dans les sous-bois pour faire une ballade de santé, il serait mieux au château dans son coin, mais non, il avait fallu qu'on l'envoie lui ! Le garde se jura de se réserver les deux qui étaient de garde. Un homme avait tenté d'assassiner un noble quelconque mais influent, et il(s) devaient le chercher, le rattraper pour le juger et surtout le tuer pour l'exemple. La justice à Vaquali était très simple, soit on payait pour que tu sois innocent et tu t'en tirais avec un blâme ou des fois pire une main ou un membre coupé, ou alors on payait pour que tu sois coupable et tu mourrais, il n'y avait pas de réel procès, tout était décidé à l'avance, et le procès n'existait que pour amuser le peuple et la noblaille.

Le bruit des branches craquant sous ses lourdes bottes l'exaspérait, dans ces conditions, il aurait fallu que l'assassin soit sourd, aveugle, lent et en plus idiot pour qu'il puisse lui mettre la main dessus. Le matin même, Walton lui avait donné un coup de latte dans la jambe, mais comme à son habitude, il tapait comme une brute, une vraie. Le garde était sûr d'avoir entendue un craquement sinistre après la coups, mais il pouvait marcher à peu près droit, et il ne boitait pas trop. Ce qui pouvait aller, une journée comme il les aimaient en faîtes. Il aurait mieux fait d'écouter son 'ami' et l'accompagner à la taverne au lieu de poursuivre l'homme. Ils auraient racontés qu'ils l'avaient perdus dans des petites ruelles et ce serait bon, mais non, il fallait qu'il n'en fasse à sa tête comme à chaque fois. Mais sa stupide fierté l'empêchait de montrer à l'autre qu'il l'avait déjà pardonné. Sa stupide fierté qui l'avait si souvent mis dans des problèmes qu'il aurait pu facilement éviter.

Les branches basses lui fouettaient le visage avec une hargne méthodique, lui strillant le visage de marques rouges, comme si elles voulaient se venger de choses qu'il aurait pu commettre un jour, a vrai dire, Baigan n'était que rarement allé dans la forêt, il n'aimait pas ce silence oppressant et ces cui-cui perpétuels des oiseaux constamment de bonnes humeurs. Ces ruisseaux glougloutants, et ces clairières illuminés doucement par la lumière du jour, baignant dans un étrange lieu hors du temps, on aurait dit qu'ils n'avaient pas étés atteint par la folie humaine, et cela lui faisait peur. Comment les hommes pouvaient-ils être aussi cruels et aussi protecteurs à la fois. Il n'y avait qu'à regarder tous ces hameaux isolés qui ne savaient rien de la situation extérieure à leur village. Ils étaient comme coupés du monde et l'idée de Royaume et Guerre n'existait pour eux que dans les contes et les histoires que l'on pouvait raconter au coin du feu. Les Rois n'était plus qu'un sentiment nostalgique et beaucoup n'y pensaient même plus. Cela avait quelque chose d'iréel, ils étaient si près et en même temps si loin.

Un peu comme son petit village, il n'avait pas de nouvelles depuis si longtemps, depuis tellement d'années ou il s'était jurer de tuer son père, pour tout ce qu'il leurs avaient fait. A cette pensée, l'homme fouilla sous sa tunique à la recherche du châle de son 'ange', il ne le quittait jamais, impossible de se séparer de son dernier lien vers le passé, dès qu'il enfouissait son visage dans la laine, il se rappelait la voix de sa mère et son odeur de fleurs, le rire de sa sœur et leurs jeux. Et cela ne faisait que raviver sa colère envers celui qui se disait être son père. L'homme ne devait même plus se souvenir d'eux. Et si jamais il s'en souvenait, ce ne serai que haine, il devait sûrement penser qu'ils étaient tous morts ce jour là. Il ne s'inquiétait pas des fantômes du passé, que pouvaient lui faire deux gosses chétifs contre un homme du roi ?

Personne n'aurait reconnu en lui le gosse du village, celui qui riait avec sa sœur, qui aimait courir et parler aux gens, celui qui aimait jouer et vivre. Le gosse était mort pour laisser place à un homme rempli de haine envers l'humanité. Les hommes n'étaient que des pourris qui ne pensaient qu'a s'entretuer. La mort avait apparemment quelque chose de fascinant, il est vrai, voir quelqu'un mourir est sûrement un passe-temps comme un autre, et ce serait mentir de dire qu'il n'aimait pas cela. Il s'imaginait que le prochain, ce serai son père.

De toute façon, la vie était courte, la mort attendait tout le monde, prenant plus de temps pour certaines personnes, mais rien ne vous empêchaient de lui donner un coups de pouce, c'était le propre de l'homme, aimait voir souffrir quelqu'un. Baigan espérait qu'elle prendrait tout son temps pour son père, et qu'il puisse le prendre dans un moment ou il était heureux et ou il n'y s'y attendait pas. Rien que pour le voir surpris et lui mettre le coup de grâce...

Mais il en était certains que le garde préférait voir partir rapidement, surtout un. Celui qui l'avait recueilli alors qu'il n'était qu'un petit page. Le chef de la Garde de Sa Majesté. Il souffrait d'une maladie qui le faisait horriblement souffrir dans ses moindres mouvements, mais malgré son âge avancé et ses douleurs, il ne voulait pas abandonner son poste et malgré sa fatigue évidente, continuait à se mêler aux simples hommes de troupe. Pour lui, il voulait une mort douce et rapide. Le voir souffrir comme ça, le faisait aussi souffrir dans un sens, il le considérait un peu comme son père, celui qu'il n'avait pas eu, celui qu'il aurait souhaité avoir.

Une vague lumière commençait à apparaître dans les sous bois-signe qu'il commençait à s'approcher de la lisière du bois. Sa tunique noire et son uniforme était plein de brindilles et de feuilles, et il avait l'impression d'être encore plus ridicule que d'habitude. Pendant qu'il tentait d'enlever les feuilles dans ses cheveux, tout en continuant d'avancer, il entendit une voix, apparemment apeurée, mais il ne comprit pas un traître mot de ce qu'elle disait, pensant qu'il s'agissait de son homme, il s'avança pour arriver dans une cour d'une maison impressionnante, ce n'était plus une maison ça. Et une jeune femme occupée à baratter du beurre. Une robe noir et un petit tablier. Pendant un moment il la dévisagea avant de se ressaisir et de secouer la tête.


'J'suis désolé ! J'pensais pas m'retrouver ici !'

[Hum... J'espère ne pas m'être trompée par rapport au bois :/]
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Anna Lebois

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MessageSujet: Re: Une servante, un travailleur [PV Baigan]   Une servante, un travailleur [PV Baigan] Icon_minitimeVen 14 Nov - 17:40

[Ah non, ça va ^^]

Barrater...comme si elle ne voulait faire que cela durant sa journée! Pour avoir une simple livre de beure, il fallait s'y prendre trois heures à l'avance. Elle avait fait le quart, environ et voilà une dizaine de minutes qu'elle se déchaine sur se pauvre pot de bois. Une voix s'éleva, la faisant sursautée. Elle tomba à la renverse et atterit sur son derrière. Elle rougit, sachant qu'elle faisait vraiment pitié de tombé ainsi. Au moins, ce n'était pas ce fils de riche encore...

Elle regarda l'homme, toujours les joues un peu rouge. Il devait avoir quelques années de plus qu'elle, tout au plus. Environ le même âge que le prochain propriétaire, quoi! Réalisant qu,elle était toujours au sol, elle se releva d'un bond et enleva la poussière de ses vêtements. Elle n'arrivait pas à enlevé sa gène et ses joues étaient toujours en feu.

-Que faites vous ici, de toute façon. C'est un terrain privé, la propriété d'un grand ami du roi. Vous ne me laissez pas le choix que d'allez avertir mon patron.

Elle n'aimait pas agir ainsi, surtout pas envers des personnes qui n'avaient rien fait, mais elle n'aimait pas la présence d'homme plus vieux qu'elle, lui rappelant s'en cesse les avances du futur propriétaire. Déjà qu'elle était coincé comme servante attitré de ce foutu homme, elle profitait des moments où elle était seule, ou avec sa mère. Sa mère de 33 ans.

Elle recula d'un pas, ne le lachant pas des yeux. Elle avait toujours les joues en feu, elle ne savait pas pourquoi.

-Qui êtes vous?

C'était une question un peu idiote, surtout qu'elle devait être inférieure dans la hiéarchie sociale par rapport à l'homme. Le pire des cas, elle se trouvait devant un meurtrier qui allait la faire taire en lui plantant un couteau dans le coeur. Elle eut un frisson. Ce pouvait être le cas. Anna n'était pas armée et ne savait point se battre. Ce devait être très facile de se débarassé d'une pauvre fille de 15 ans.

Finalement, barrater du beure n'était pas si désagréable...
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