l'étrangère (libre)

C’était une nuit chaude. L’immense lune renvoyait ses rayons et donnais a la scène une lueur malsaine. Dans se paysage un silhouette apparut. Elle s’avança vers l’auberge, à son petit pas pressé ont pouvait deviner qu’elle avait hâte de se retrouver a l’intérieur. Quand elle s’en approcha suffisamment. La ses lumière éclairèrent le visage pâle de l’étrangère. Ses longs cheveux noirs tombaient en cascade sur ses épaules dénudées, son corps mince et agile semblait se balancer sur le son d’une musique que seule l’étrangère pouvait entendre. Un homme saoul aussi remarqua ses attraits, mais se retint tout commentaire, car il avait vu quelque chose. Une dague pendait de sa ceinture elle balançait au rythme de ses pas renvoyant la lumière des bougies. Elle passa l’homme sens lui accorder un seul regard et poussa la lourde porte de bois. Derrière elle fut assaillit par les innombrables aromes de bonne nourriture et d’alcool. A sa grande surprise elle était la seule cliente pas qu’elle soit seule bien au contraire il y avait que des clients au masculin. Remis de sa surprise elle s’avança nonchalamment jusqu’au contoir ignorant les regards qui la suivait. Elle s’y installa, se concentrant sur le bruit des assiettes et des verres s’entrechoquant. Tout a coup un bruit la tira de sa rêverie. Une femme d’une rare beauté venait d’arriver pour lui demander se qu’elle voulait prendre.

-Je voudrais un wiski.

La femme lui tendis un verre avant de retourner a ses occupation.

Tracy Wolf parlait avec un client. Cet homme avait de l'argent, ce qui est rare dans le Nadali. Tracy survivait, étant donné que son auberge était toujour remplit. Une cliente entra.

-Q'allez vous prendre?
-Je voudrais un wiski.

Elle prit un petit verre wisky, le remplit et lui tendit.

-Dix pièce d'argent, Mille.

Elle lui tendit l'argen t et elle retourna à ses occupations, dont celui de laver les verres sales et d'encaisser l'argent.

Merci, mais pourquoi il n'y a que des homme ici, je croyais pourtants que c'était mixte.

Elle regarda la salle quelque instant puis elle commanda la spécialité.

(pas d'idée)

-Il n'y a pas beaucoup de femmes parce qu'il n'y a que des alcooliques et tout le charabia des villages noirs, si vous voyez ce que je veux dire.

L'étrangère commanda la spécialité, soit un plat de viande. Tracy se dirigea vers la porte de la cuisine et cria au cuisinier la commande.

-Ça sera bientôt près, Mlle.

Il me faudrait aussi une chambre pour la nuit.

Elle regarda l'aubergiste.

Je pourait vous rendre service un de ses jours.

(j'ai pas d'idée tu pourait pas m'aider un peut).

-Une chambre? J'en ait bien une de libre...mais le prix ne sera pas le même, Mlle. Les autres chambres sont déjà prise et ma dernière est pour les employés.

Tracy souriait, sachant très bien que la dernière chambre était d'exellente qualité.

-La chambre coûtera 4 pièces d'or. C'est ma meilleure chambre.

Très bien, je vais la prendre. Je vais prendre la clé merci bien.

Elle voulut prendre une clé, mais l'aubergiste la bloqua.

-Désolé, on paie avant d'y allez, Mlle. Je doute que vous voudiez avoir mon arme en pleine figure.

Tracy connaissait des illusioniste qui créait leur argent. C'est pourquoi elle faisait payer avant de donner quoi que ce soit. Pas d'argent, pas de nourriture ou de boisson.

Dès que Misa se coucha près d'elle, elle lui donna une friandise. Ce n'était pas pour ne pas se faire attaqué, mais pour la félicité d'être bien tranquille dans son auberge. Le simple dérangement de l'animal pouvait amener des tonnes de plaintes.

-Alors, Mlle. Vous payer maintenant?

Un homme en capuche noir sortit de l'ombre. En regardant attentivement, on pouvait voir que sa capuche n'etait pas noir mais vert foncer et qu'elle degager une legere odeur de sapin. Il portait des bottes specialement concu pour la marche et une armure legere fait d'un metal. noir. A sa taille il portait une epee ancienne, pareille a celle que portait les maitres. La garde de cette epee etait decorer finement, fait d'or, representant des scene de combat. Il s'approchat du comptoir de service. A chaqu'un de ces pas, Les hommes de la taverne se taisaient un peu plus pour observer l'etranger qui avancait. L'orsqu'il arriva a destination, Le silence etait complet dans l'auberge.

-Tracy c'est ca?

Puis sa capuche tomba. Aris paniqua et remit sa capuche. Car si on avait vu sa cicatrice, on allait surement deviner qu'il etait un esclave en fuite. Et le reste serait catastrophique. Il posa donc sa main droite, celle qui avait tout ces doight, sur la garde de son epee pour se rassuer.

Un étranger se plaça au bar au moment où elle parlait avec la femme. Le silence tomba dans l'auberge de la femme. Quand il demanda si elle était Tracy, elle n'eut aucune réaction, puisque sa réputation était grande et bien répendut dans le Nadali. Elle posa son bras sur le comptoir et tourna son regard de sang vers l'homme.

-Je suis bien la seule Tracy ici. Que voulez vous?

Son ton était pas mauvais ou soucieux. Il était simplement curieux et quelque peu aimable. Le ton qu'elle prenait avec les nouveaux venut, ceux donc ils n'étaient jamais venut auparavent.

-Faites bien attention avec cette épée. Ici, c'est remplit d'habituer qui n'aimeront sûrement pas voir ma tête tomber.

Aris regarda autour de lui et attendi que plus personne ne fasse attention a lui. Puis, il se pencha vers Tracy et lui declara qu'il etait rechercher, qu'il avait besoin d'un abri et d'une personne qui ne dirait rien, qu'il avait les moyens pour payer, et surtout, qu'il cherchait quelqu'un pour reparer sa dague de lancer empoisonner. Les artisans qui etait capable d'un tel exploit etait extremement rare, car il fallait saisir la dague d'une maniere extremement complexe, car a la moindre egratignure, on etait certain de mourir. Apres avoir demander tout cela a Tracy, il se releva dignement et demanda enfin un repas chaud a monter dans sa chambre. Cela faisait trois jour que Aris n'avait pas mange et il avait vraiment mais alors la vraiment fin. Tout ce qu'il voulait pour le moment, c'était un bon lit et un exellent repas. Il resterait deux ou trois jours ici, le temps de reremplir son sac de provision, de reparer son materiel et si du nouveau materiel etait disponible, l'acheter. Apres ces jours de repos, il retournerait sur la route et combattrait a nouveau les monstres qui devoraient les voyageurs innoncents. Il avait l'intention de retourner de l'autre côte du pays et de refaire a neuf tout son materiel...sauf son epee bien sur. Il allait surement rencontrer bien des gens et faire des surprises tres agreable...

-Pour la chambre, c'est sans problème. Si vous n'avez pas l'argent, vous verrez rapidement comment je réagis. Je peux demander à mes contact s'il y a quelqu'un pour réparé votre dague.

Il se dirigea vers sa chambre, juste après qu'elle lui ait tendu les clés, et lui demanda un repas qu'elle annonça au cuisinier. Elle dit à l'étrangère qu'elle allait revenir dans peu de temps et prit le repas du jour et monta à l'étage vers la chambre de l'homme. Elle donna quelque coup sur la porte, indiquant qu'elle était là, et ouvrit la porte.

-Voilà votre repas. C'est la spécialité du jour, alors c'est le moins cher, mais le meilleur repas. Mes clients adorent.

Elle déposa les plats sur la seule table de la pièce et se dirigea vers la porte.

-Si vous avez besoin d'autre chose, vous n'avez qu'à descendre me faire signe.

Aris hesita, ouvrit la bouche mais se ravisa a la derniere minute. Il ne devait pas parler de sa blessure au ventre. On pourrait le retrouver beaucoup plus facilement.

-Bien sur.

Elle tourna la poignée et sortie de la pièce, sans oublier d'y faire son sourire chaleureux habituel. Elle oublia par contre de fermé la porte. Elle descendit les escaliers. Par malchance, elle manqua une marche. Elle se rattrapa au vol en faisant apparaitre son arme double, plantant une des lame dans une marche et se retenu après. Il était rare qu'elle utilise son arme, mais elle gardait toujours le réflexe de l'utilisé en cas de besoin. Ele déposa un pied sur une marche, fit disparaitre son arme et descendit le reste de l'escalier.

Alors qu'elle montait, un des bandits les plus dangereux du Nadali monta à l'étage et passa devant la porte ouverte de l'étranger. Le simple fait de voir cet homme dans cet endroit donnait la chair de poule, mais Tracy partageait avec cet homme une profonde amitié entre client-vendeuse. Quand elle disait que certain n'hésiterait pas à tuer pour elle, elle ne blaguait pas.

Aris tourna la tête juste a temps pour apercevoir le sombre bonhome. Il le suivit du regard et quand l'homme eut disparut de son champ de vision, il sortit de sa chambre et le suivit silencieusement.

L'homme entra dans une chambre, sans remarqué la précense de l'étranger. Aris eut juste le temps de se cacher que Tracy courait vers la chambre en question. Elle cogna, un plateau en équilibre sur sa main et l'autre main cogna tranquillement à la porte. L'homme ouvrit, lui sourit et la laissa entrer.

Elle déposa le plateau de nourriture sur une table. L'homme lui lança une pièce pour le repas, toujours un sourire au lèvres. Il lui demanda alors:

-Est-ce que quelqu'un sait que je suis ici?
-Nan! J'ai fait croire aux "agent de l'ordre" que vous étiez un cousin en visite.
-Je devrait avoir la paix alors. Merci de votre aide.
-De rien, vraiment! Au nombre d'esclave en fuite, de bandit et de voleur qu'il y a ici, il y a vraiment rien de plus rassurant que de vous savoir content! C'est mon travail quand même!

Tracy s'assura que tout était parfait, comme à chaque chambre occupé, fit un sourire chaleureux à l'homme et se congédia. Au nombre de personne au bar, elle devait se dépêcher.

-Je sais bien que vous aimez ma compagnie, mais j'ai une auberge à faire rouler moi! S'il y a n'importe quoi, faites moi signe.
-Serait-il possible d'avoir une bouteille de Whisky?
-Pas de problème! Je reviens.

Une autres pièce apparut dans la main de l'aubergiste, une deuxième d'or. Elle sortie, sous le bruissement de ses jupes dans l'air, et marcha d'un pas rapide vers le bar, sans remarqué la moindre seconde que l'étranger avait tout entendu.